L’avant fut donc occis de l’homme qui s’étripe :
Jadis ne serait plus qu’un rêve trop lointain,
Autrefois n’avait tout que du mauvais destin,
Car la modernité vendait sa pauvre fripe.

La guerre se prépare autour d’un vide-tripe,
De l’alcool ennuyeux qui boit son puritain,
Quand la cloche indolore écrase le mutin,
Tout s’en va comme brûle un virus qui se grippe.

Déferle sur la Terre une vague de mort,
Brutal cataclysmique en ce feu qui la mord ;
Soudain, la vie ressemble au poisson qui se noie.

Quand se brise sur Dieu ce globe trop bruyant
La puissance de fer qui pleure et qui larmoie,
S’écroule ce beau monde à l’égard bien fuyant.

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