Un feu me brûle, un feu de braise noire,

Un feu qui tue le beau désir de croire !

Un feu me ronge et ravage mon cœur,

Un feu sans joie, plein de fiel, de rancœur,

Qui, lancinant, porte en lui plus de haine

Que mil démons de la male Géhenne !

Ce feu qui mène à l’échec des enfers,

C’est l’ire humaine et ses terribles fers.

Votre commentaire

Entrez vos coordonnées ci-dessous ou cliquez sur une icône pour vous connecter:

Logo WordPress.com

Vous commentez à l’aide de votre compte WordPress.com. Déconnexion /  Changer )

Image Twitter

Vous commentez à l’aide de votre compte Twitter. Déconnexion /  Changer )

Photo Facebook

Vous commentez à l’aide de votre compte Facebook. Déconnexion /  Changer )

Connexion à %s