Un feu me brûle, un feu de braise noire,
Un feu qui tue le beau désir de croire !
Un feu me ronge et ravage mon cœur,
Un feu sans joie, plein de fiel, de rancœur,
Qui, lancinant, porte en lui plus de haine
Que mil démons de la male Géhenne !
Ce feu qui mène à l’échec des enfers,
C’est l’ire humaine et ses terribles fers.