Comme une agonie qui dure et qui ne meure pas,
Un semblant de vie qui s’essouffle,
S’estompe,
L’Enfer est ce monde,
Ce monde sans loi,
Mort d’avoir trop la foi.
Un peu de mort dans un monde de morts,
Pour soulager les souffrances
Infinies.
Tout en bas, on retrouve
Le porteur de misères
Autrefois porteur de Lumière.
Partout, la mort.
Partout, la haine.
Le mal,
Le mal qui se hait et se meurt
À petit feu.
Ces enfers sont le monde inique
De la fin de tout,
Sauf du temps.
Ce temps qui dure désormais si longtemps.