La censure est ce bien que l’on oppose aux bons‚
 Ce fléau de justice abattu sur le juste‚
 Magnanime grelot d’une immondice auguste‚
 Loin de cet humble éclat du moins grand des Bourbons !
  
 L’inepte tolérance est vertu du barbare
 Qui prend l’atour civil et se pare de peaux‚
 Qui‚ quand on le démasque avec ces oripeaux‚
 Vagit comme l’enfant que l’adulte rembarre.
  
 Heureux l’homme de bien que l’on met au silence :
 Il se bat avec cœur pour un combat gagné
 De cela deux mille ans face au monde indigné‚
 Par la Croix de la vie et d’une humble souffrance.
  
 Les Gaffeurs qui se croient plus grands que le saint bois‚
 Ces sorciers aujourd’hui qui se font mécaniques‚
 Je les vois déchaîner leurs suppôts sataniques‚
 Sous leurs cheveux de guerre et leurs niais pavois‚
  
 Armés d’une souris et d’une rage absconse‚
 Ils rendent l’injustice en traquant l’homme droit !
 Devant l’absurdité du labyrinthe étroit
 Qu’ils diront découvrir face à notre réponse‚
  
 Ces zélés combattants d’un monde sans saveur‚
 Préférons la censure à l’injuste défense
 Du faux que l’on adoube avec inconvenance‚
 Et montrons-leur Croix de ce divin Sauveur. 

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