Ô Liban ! Yâ Lubnân ! Pays du Cèdre et du Beau,
Terre de la grandeur de cette unité vraie,
Mais fragile… Nommée à l’aune de l’ivraie :
Malheur ! Car au Seigneur, le Puissant, Dieu Très-Haut,
 
Vous êtes ce pays qui doit rester, contrée
Des filles et des fils marchant main dans la main.
Pourtant, ô beau pays, le désordre malin,
Le pouvoir médiocre et la ferveur dorée,
 
Les ors du faux avoir, les cris haineux, les coups,
Les troublants attentats, les odieux blasphèmes,
Les tirs et la mitraille à l’odeur anathème,
Bref, tous ces maux affreux disant que Christ est fou,
 
Ne te font-ils pas souffrir l’ombreuse violence ?
Mais Jésus croit en vous, beau pays vigoureux,
Le Christ, ce Dieu vainqueur, vous désira heureux ;
Il vaincra le tambour de la vitupérance ;
 
Il l’a même vaincu, déjà, Lui le Sauveur !
Je crois que votre Mère et douce protectrice,
Notre-Dame, vous prend d’une âme bienfaitrice,
De vos pauvres enfants console tous les pleurs !
 
Je ne sais vraiment pas tout cela de moi-même,
Je le reçois du Père avec le Saint-Esprit
Parlant par le doux Verbe appelé Jésus-Christ ;
Qui pris sur Lui tout l’homme et de façon suprême !

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