Dans ce monde furieux duquel je ne suis pas
(Je suis chrétien), ce monde épris de son trépas,
Digne, un jour, je mourrai ! Quoique Gogol en dise,
Et fusse tout cela pour mon bien, seul le Bien
Triomphera ! Ce Bien, que rien ne vainc, ne brise,
C’est le Seigneur Jésus que nous délie du Rien.
Car pas même une Croix n’y suffit. Elle chante,
Sournoise, Insidieuse, et Lâche, et Ignorante,
Courbée, Ombrée, Nimbée, cette vallée du mal,
Et croit que son destin, sa male destinée,
Est de substituer au Bois un précieux métal,
Et de vaincre Jésus ; alors qu’elle est ruinée !