L’ombre du jour, tel un éclat nocturne,
Lève son voile et embrasse la Mort ;
L’ombre du jour, constance taciturne,
Brise mon âme avec l’épée du tort.
Cette ombre diurne est une mer aride,
Un sacrilège aux atours de sacré ;
Elle est la main qui me tient par la bride,
Et qui remplit mon cœur d’un fiel sucré.