Saint-Donatien, un jour de mars 2004, il fait froid dehors, l’hiver a duré !
J’écris un poème pour Napoléon ! Il me faut seulement une heure pour écrire six quatrains, vingt-quatre octosyllabes !
Un don se révèle.
Les Ponts-de-Cé, février 2009, il fait froid, mais le printemps vient.
J’écris, et j’écris mal depuis Derval ! Que j’écris mal.
Mon don s’est endormi.
Angers, mars 2010.
Une phrase résonne : « au fond de mon chagrin je suis la pauvre veuve ! »
Ma lyre est accordée, ma lyre vibre au son de l’inspiration ! J’ai faisais trop, je n’en faisais pas assez, mes poèmes se heurtait à l’écueil de la révolte et du pamphlet !
Les Ponts-de-Cé, aujourd’hui, il fait froid, mais l’hiver ne m’a pas vaincu !