La gente féminine,
Un mystère,
Un don du Ciel.
Je ne la comprends pas vraiment,
Cette armée de bavardes et pipelettes,
Capable de s’étendre des heures durant
Sur un sujet quelconque.
Mais j’admire ce don du Ciel,
Ces gardiennes du sacré,
Ces temples de l’invisible ;
Elles qui entendent l’amour,
Plus qu’elles ne le voient.
Elles parlent et parlent encore, ces femmes,
Mais elles sont aussi de grandes chrétiennes ;
Certains le savent bien.
En première ligne devant Jésus,
Elles prient et prient encore,
Aimant Dieu plus que tout.
Quant à moi, être de l’autre sexe,
Je ne suis pas vraiment le plus adroit.
De toute manière, cela compte-t-il ?
Séduire pour un soir n’a pas de valeur,
Aimer pour la vie en a bien plus :
Aimer une femme, c’est lui donner sa vie,
Se sacrifier pour elle ;
Celle qui se laisse séduire détruit son trésor le plus précieux,
Celui qui séduit meurtrit ce trésor de Dieu.
Quand je vois ces jeunes filles
Qui semblent ne plus avoir de féminité,
Je pleure ;
Quand je vois ces jeunes femmes
Qui ont gardé ce trésor pour elles et leur mari,
Je souris,
Je les admire.
Si ce n’est celui de Dieu,
Rien n’est plus remarquable que l’amour d’une femme,
Rien n’est plus beau,
Rien ne réjouis plus le cœur,
Rien n’illumine plus l’être.
Merci Vianney pour ce doux éloges !
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