Ils sont deux, et de deux ne sont qu’un. Je les aime Parce qu’ils sont unis, et ils m’aiment moi-même.
À MAMAN
Maman, mère attentive, oubliez un instant Vos préoccupations et donnez vos oreilles À cet hymne pour vous composé. Tu t’éveilles, Ô Oiseau magnifique, enchanteur et constant, Tu chantes ce poème à maman. Les corneilles, Les corbeaux, tous s’en vont : le Mal se tient distant. Chante haut, chante clair, rossignol ; en chantant Que tes flammes…