Venez, mes compagnons, venez donc à ma main, Entraînez-la vers vous tel ce tendre gamin Qui d’impatience tire une main maternelle ! Armez-la de vigueur et de joie éternelle ! Oui, mes chers compagnons, sur d’infinies blancheurs Sachez donc avec force épandre vos humeurs ! Tantôt tristes, tantôt joyeuses, tantôt belles, J’aime tant la beauté de vos lettres…