Troisième blancheur

Protégé par Cléo De Pologne naguère a sourd une blancheur, Qu’un Turinois jadis vit comme dans un rêve : Éclat pur d’un joyau que ce grand voyageur, Cet homme qui porta la Vérité sans trêve ! Ce visage épuisé par les terribles ans Ne refusa jamais la douceur d’un sourire, Même face à la guerre…