Désignant l’adversaire avec un regard noir,
Elle discourt à vide et débat, véhémente,
Avec les mots du peuple avide de pouvoir,
Qu’elle dit protéger de sa gouaille charmante…
Marine a tout du chef le statut mis à part,
Et la stature aussi lui manque, j’imagine,
À voir le ton grossier qu’elle use pour l’art
Rhétorique et verbal : paraissant de l’usine
Elle parle noblesse et France de toujours.
La colère lui vient lorsque d’une âme folle
Elle braille à l’envi d’une sombre voix d’ours
Les mots du ridicule armé d’un tour frivole.
Puisque le Front est mort depuis qu’on l’a voulu,
Le temps vient désormais de son Rassemblement,
Qui divise le peuple au désir vermoulu,
Et scinde les Français bien plus probablement.
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